Bêtassou démission!
autour de vous, autour de moi, autour de nous tous, il y a des gens qui abusent de leur pouvoir en toute impunité et au su de tous. C’est ça qui est révoltant! Tout le monde le sait et chacun se tait.
Pourtant notre devoir à tous est de signaler les agissements indéfendables de telles personnes qui se croient à l’abri de toute sanction grâce à leur fonction, leur fric, leur pouvoir, leur relation, leur situation, leur couverture juridique, etc.
On a eu le cas avec l’affaire Harvey Bernstein, ce tout puissant producteur de cinéma qui harcelait sexuellement voire violait les femmes les plus fragiles. Jusqu’au jour où l’une de ses victimes a osé parler. Grâce à cette femme courageuse, le monde est définitivement débarrassé de ce prédateur.
On a aussi l’affaire de quelques rares curés ou de quelques rares éducateurs, de quelques rares hommes politiques qui abusent de leurs pouvoir envers les enfants ou des adultes. Jusqu’au jour où une personne a osé parler.
Nous devons absolument signaler ces tristes personnages non pas pour leur nuire, mais pour les empêcher de nuire, de saccager des vies, de détruire le bonheur de leurs victimes. Je vais m’appuyer sur un type que je connais Philippe Bêtassou et dont je ne cesserai de signaler le comportement abject.
Philippe Bêtassou est le petit fonctionnaire de province, de Limoges, celui que j’appelle le facho ordinaire, que l’on croise tous les jours dans la rue avec sa baguette sous le bras. Il ne brûle pas de Juifs, il ne pratique pas de ratonnade, le soir il ne va pas à la chasse au PD dans les jardins publics, mais si on lui en donnait le pouvoir, si on lui donnait des galons avec un bel uniforme, il le ferait. Non pas par méchanceté, mais tout bêtement parce qu’il est bête.
Ce Philippe Bêtassou m’a insulté et diffamé dans un rapport confidentiel. Et son rapport de crétin a eu et a encore des conséquences dramatiques. A plusieurs reprises, par lettre recommandée, je lui ai demandé des excuses pour ce qu’il a fait. En effet, cela peut arriver qu’un humain trébuche. Errare humanum est comme on dit, l’erreur est humaine. Je n’ai reçu aucune excuse de sa part, bien au contraire. Perseverare diabolicum, persévérer dans son erreur est diabolique.
Désormais, je veux qu’il présente sa démission auprès du Président du CD87.
Voici ce qu’il a fait.
1: Il a pris mes vidéos humoristiques au premier degré que j’édite sur Youtube. C’est ahurissant de bêtise. Ce monsieur m’a insulté et diffamé dans un rapport administratif qu’il a classé lui-même confidentiel pour qu’on ne sache pas que ça vienne de lui. Pas de chance pour lui, j’ai réussi à me le procurer.
Dans son rapport, il m’a qualifié de coach en séduction rapide, de raciste, homophobe, antisémite, malade mental, incohérent.
2: A cause de ce rapport diffamatoire, ma femme a été licenciée (Elle était famille d’accueil). Il l’a diffamée, salie,humiliée et non content de cela, il l’a accablée de fautes professionnelles injustifiées alors que le dévouement de ma femme pour les enfants accueillis était exemplaire.
3: Toujours à cause de son rapport diffamatoire Il a détruit l’enfance de Maria une fillette de 5 ans qui nous était confiée depuis ses un an, en l’arrachant d’un milieu où elle s’épanouissait. Aujourd’hui Maria est baladée de famille d’accueil en famille d’accueil. En deux ans, elle a fait 4 familles différentes, de quoi la perturber toute sa vie. Ça fait plus de deux ans que ça dure! Ce n’est plus une faute, c’est un crime. « Malheur à celui qui blesse un enfant! » Malheur à celui qui saccage son bonheur et son enfance !
4: Son service de médecine préventive dont il est responsable a été incapable de déceler à temps une grave déficience visuelle de Maria. Maria sera handicapée à vie, handicap qui pouvait être évité. Très grave!
Plus grave encore, Philippe Bêtassou cherche à faire porter le chapeau à ma femme. Il n’assume pas ses propres fautes.
5: Il a diffusé sur son site Facebook des images et des propos obscènes totalement inadaptés à sa fonction de professionnel d’aide sociale à l’enfance.
6: A cause de son erreur, il a entraîné tout son service ainsi que l’ensemble du Conseil Départemental 87dans un embarras indescriptible. Ses collègues se taisent par esprit corporatiste, par faiblesse, par lâcheté, par peur. Chacun tient à conserver son emploi. Les plus courageux l’ont déjà lâché. Je leur dis bravo bien sûr.
Je lui ai demandé de me présenter des excuses ainsi qu’à Maria. Il n’a pas eu les couilles de me les présenter. Aujourd’hui je réclame la démission de ce crétin dangereux, de ce débile mental, de ce criminel qui s’ignore.
Malheur à celui qui détruit la vie affective d’un enfant, d’une fillette de 5 ans, innocente et sans défense.Je veux que ce Philippe Bêtassou, ce salaud ordinaire, démissionne de lui-même, qu’il dégage de notre Conseil Départemental 87.
Franchement, et là je m’adresse à Philippe Bêtassou: mon cher crétin du Limousin, tu m’épates. Après ce que tu as fait, comment peux-tu encore t’accrocher à ton boulot? Comment fais-tu pour affronter le regard de ta femme ou de ton compagnon, de tes enfants, de tes parents, de ta famille, de tes ancêtres? Et tes collègues, quand tu les croises dans les couloirs, comment fais-tu pour ne pas rougir de honte? Eux, ils chuchotent dans ton dos.
Lors de réunions avec les assistantes familiales. Tout le monde se fout de ta gueule discrètement. Tu fais comment pour les ignorer?
Toute ta vie, à chaque fois que tu croiseras une petite fille à lunettes, pourras-tu soutenir son regard sans penser à Maria dont tu as piétiné l’enfance, la joie de vivre?
Tu peux même porter plainte contre moi parce j’ai signalé ta bêtise. Rien ne changera. C’est toi le salaud.C’est ta conscience qui parle et t’accuse, pas moi.
Ta conscience te dit: «regarde ce que tu as fait, salaud! Honte à toi »Tu peux te payer les meilleurs avocats du monde. Aucun avocat, aucune décision de justice ne feront taire ta conscience.
Tu peux même gagner ton procès, -et c’est le pire qui pourrait t’arriver-, ta conscience te poursuivra toujours, toujours et toujours. Ta seule chance pour soulager ta conscience est de présenter tes excuses pour le mal que tu as fait et de démissionner. Démissionne mon pote, tu rendras service à tes collègues, aux familles d’accueils, aux enfants de l’ASE, au CD87, au monde entier.